Le projet Ecurie Frères d’Armes est bien plus qu’un simple collectif participant à des courses automobiles. Il incarne une volonté ambitieuse et profondément humaine visant à aider les blessés des armées à se reconstruire physiquement, mentalement et socialement, grâce au sport automobile. La Mutuelle Epargne Retraite (MER) est fière d’annoncer son soutien à cette initiative originale, qui promeut des valeurs de résilience, de solidarité et de dépassement de soi.
Ecurie Frères d’Armes : au delà d’un projet, une mission
Une mission au service des blessés militaires
Ecurie Frères d’Armes apporte un soutien spécifique aux militaires blessés en service. Qu’il s’agisse de blessures physiques dues aux opérations extérieures ou de séquelles psychologiques comme le syndrome de stress post-traumatique, ce projet offre une réponse innovante en associant résilience personnelle et participation à des aventures sportives exceptionnelles.
Entre 2009 et 2019, les opérations extérieures ont touché des milliers de militaires, avec plus de 600 blessés et près de 2 600 cas de traumatismes psychologiques. Ces blessures s’effacent difficilement, mais l’Ecurie Frères d’Armes a choisi de montrer que la reconstruction est possible.
Des valeurs fortes : solidarité, résilience et reconnaissance
Au-delà de l’exploit sportif, Ecurie Frères d’Armes porte un message de solidarité nationale envers les militaires blessés. L’association montre que même après les blessures, une nouvelle vie pleine de défis, de succès et d’accomplissements est possible. Elle milite pour que ces anciens militaires ne soient pas oubliés et continue de renforcer le lien entre l’armée et la société civile.
Une aventure unique : le Dakar Classic
/Le projet phare de l’association est la participation au Dakar Classic, un rallye-raid mythique et prestigieux. Ce défi consiste à parcourir plus de 7 500 km de dans des conditions proches de celles des véhicules militaires d’époque. Pour l’équipage, chaque étape est une aventure mêlant performance technique et endurance mentale.
Faisant le lien avec les pionniers, l’un des véhicules de course utilisés est un ancien matériel militaire réformé, réhabilité et adapté pour cette compétition. Ce véhicule n’est pas qu’un outil : il symbolise un lien avec le passé et offre une nouvelle vie à ce type de machines, tout comme ce projet offre une nouvelle chance aux blessés des armées.
L’édition 2025
En 2025, Ecurie Frères d’Armes a été représentée lors du Dakar par une équipe de blessés des Armées et de bénévoles. Ensemble, ils ont organisé leur course, préparé les véhicules puis les ont fait acheminer sur la ligne de départ. En piste, Franck et Ludovic conduisaient le Peugeot P4 et Sandra pilotait le camion Renault 4X4 assistée par Aurore et Séverine alors que Gilles assurait la partie logistique.
Le 3 janvier, ils ont pris le départ de l’épreuve. Rapidement, les garçons ont été malheureusement contraints par des problèmes techniques et durant plusieurs étapes, ils ont été obligés d’attendre qu’une pièce spécifique leur soit envoyée depuis la France. Ils ont pu repartir mais d’autres incidents les ont finalement empêchés de franchir la ligne d’arrivée. Les filles ont quant à elles traversé l’Arabie Saoudite d’ouest en est et parcouru plus de 3500 km de spéciales à travers les dunes. Elles ont surmonté plusieurs ensablements du véhicule et dépanné d’autres participants en les remorquant. Bravo aux équipes et aux filles, qui ont relevé ce challenge avec brio !
Le sport comme moteur de reconstruction
Participer au Dakar ne se résume pas à la compétition. C’est avant tout un processus de transformation personnelle et collective. Chaque étape permet aux militaires de développer ou redécouvrir :
- La cohésion et l’entraide : vivre et travailler en équipe dans des conditions difficiles renforce les liens humains et le sentiment d’appartenance.
- La résilience mentale : affronter et dépasser des défis physiques et psychologiques extrêmes afin de surmonter les épreuves de la vie quotidienne.
- Des compétences techniques et organisationnelles : piloter, entretenir les véhicules, gérer des imprévus en plein désert… chaque tâche mobilise et développe des savoir-faire précieux.
Ces aventures permettent également de renforcer la visibilité des problématiques liées aux blessures des militaires, sensibilisant ainsi le grand public et les institutions.
Un soutien de la part de MER
La Mutuelle Epargne Retraite (MER) est fière de s’associer à Ecurie Frères d’Armes pour soutenir cette cause noble et essentielle. En tant que partenaire, MER contribue à financer les préparatifs de l’équipe, qu’il s’agisse de l’inscription, de l’équipement des véhicules. Ce partenariat témoigne de l’engagement MER envers les militaires blessés et leurs familles, en partageant des valeurs communes de solidarité, de persévérance et d’accompagnement dans les moments difficiles.
Les questions fréquentes
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A. La fiscalité en cas de rachat Seule la quote-part d’intérêts est imposée, selon la fiscalité en vigueur, acquittée par un prélèvement forfaitaire unique (PFU). L’imposition dépend de la période avant le rachat :
- Rachat avant 8 ans : 12,8%
- Rachat après 8 ans : 7,5 %, pour la fraction des produits correspondant aux versements bruts en dessous de 150 000 €, au 31/12 de l’année précédant le rachat (12,8 % au-delà).
- Primes versées avant 70 ans : pour chaque bénéficiaire, un abattement de 152 500 € sur les sommes reçues. Au-delà de cet abattement : un prélèvement de 20 % est appliqué sur la part comprise entre 152 500 € et 852 500 €, et 31,25 % sur la part excédant 852 500 €.
- Primes versées après 70 ans : ces primes, y compris les intérêts, sont soumis aux droits de succession, mais uniquement sur la fraction qui dépasse 30 500 €, tous contrats et tous bénéficiaires confondus pour un même assuré.
Le Pacte Adjoint est une solution encadrée pour transmettre de son vivant. Il s’agit d’un dispositif de l’assurance vie qui permet de faire une donation anticipée, par exemple, à un enfant ou un petit-enfant âgé de moins de 18 ans, dans un cadre fiscal avantageux. Les parents ou grands-parents, s’ils sont représentants légaux, peuvent ainsi ouvrir un contrat au nom du mineur (au moment de la souscription). Ce dispositif permet d’encadrer l’utilisation des fonds. Le donateur rédige un Pacte Adjoint, signé par les représentants légaux de l’enfant, qui fixe les conditions du don. Cette démarche constitue un levier intéressant pour sécuriser l’avenir financier du mineur, et effectuer une transmission patrimoniale dans les meilleures conditions. Souscripteur (donataire) : Enfant mineur Donateur : Parents ou grands-parents Avantages :
- Transmission anticipée, fiscalement optimisée.
- Protection du capital transmis à l’enfant ou au petit-enfant jusqu’à ses 25 ans.
- Définir une utilisation spécifique des fonds (études, achat immobilier, etc.).
- Conserver un certain contrôle sur la gestion du contrat jusqu’à la majorité du bénéficiaire.
- Liberté contractuelle : les clauses du pacte peuvent être personnalisées.
- En ligne directe (parents/enfants) : un abattement de 100 000 € par parent et par enfant, renouvelable tous les 15 ans.
- Entre grands-parents et petits-enfants : un abattement de 31 865 € par grand-parent et par petit-enfant, renouvelable tous les 15 ans.
MER classe cette solution en fonds euros dans la classe de risque 1 sur 7, qui est la classe de risque la plus basse, les pertes potentielles liées aux futurs résultats du produit étant faibles. L’adhésion au produit MER Horizon + ne nécessite donc pas de connaissance et/ou d’expérience des marchés financiers.
Versements à l’adhésion : minimum 250 € Types de versements possibles : programmés et/ou libres Montant minimum des versements bruts :
- Versements programmés : 50 €
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Le rachat peut être total ou partiel : dans le cas d’un rachat partiel, le minimum de retrait est de 450 €, et ne peut pas porter la réserve d’épargne résiduelle en dessous de 450 €.